Avec le passage du temps qui se déploie, Aucun sanctuaire ou bruit d'alarme, Seul le paradigme familier de la vieille école Menant une pléthore de cœurs capricieux, Sans retenue à l’intérieur de son déclin
Comment ne peut on pas voir plus loin que le lendemain? Même les ombres brisent leurs voix en éclats. Beaucoup d’oeils aveugles, Tandis que des tempêtes se lèvent dans chaque foule à chaque tournant, Mondes las sous une lumière qui se fane.
En dépit des épreuves et des larmes, la Grande Loi de « Zhen, Shan, Ren » émerge maintenant des marées de l’humanité, Etirant l’éternité en moments précieux.
Avec le temps qui passe, Les cœurs ravivés par de nouveaux règnes, Les sanctuaires et des jours résonnent de splendeurs bienvenues.
Bonjour Claire,
Merci pour ton commentaire... mais je ne suis pas celle que tu crois....
Commentaire de cop ; ) (17/09/2007 22:31) :
Bon sang que tout me semble froid
Avec toi tout semble plus gai
Gare à ceux qui ne t'aiment pas!
Homonymes imprononcés
Eveil soudain de tous mes sens
Effaçons les ponctuations!
Rayonne sans condescendance
Accordons nos deux violons.
Amicalement